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Le poulpe fait partie des recettes emblématiques espagnole, mais sa préparation bien que simple, reste longue et fastidieuse. Il existe plusieurs variétés de poulpe, péchés dans les eaux tempérées ou tropicales. Ceux provenant de la rivière Dakhla au Maroc, catégorie « japonica primera » sont les plus prisés et payés au prix fort par les japonais. La méthode d’extraction continu de se faire à l’ancienne à l’aide de pièges en terre cuite (gargoulettes). C’est grâce à la technique de cuisson basse température que la consommation de ce céphalopode a explosé au cours des 3 dernières années.
UNE TECHNIQUE PARFAITEMENT MAITRISÉE PAR « BAHIA DE LA CONCHA », OÙ LES TENTACULES CUISENT DANS LEUR JUS, GARDANT AINSI TOUTE SA SAVEUR, SES QUALITÉS NUTRITIONNELLES ET UNE TEXTURE FONDANTE UNIQUE. Le produit est ensuite commercialisé dans sa poche de cuisson pour une DLUO allant jusqu’à 4 mois. Passé son aspect de monstre marin visqueux, le poulpe dévoile une chair fine et doucement iodée, qui en fait un mets de plus en plus présent sur les ardoises bistronomiques. Mais au fait, 8 ou 10 tentacules ? À la différence du poulpe qui ne possède que huit bras, seiche et calamar en ont dix.